La vie n'a pas tant de mystères
Les heures au téléphone avec Zoé emportent des mots, tentent de comprendre, et laissent un peu trop d'appréhension pour le week-end. Elle essaie de me rassurer, ça s'arrangera, ça s'arrangera puisque. Trop de malentendus, trop de quiproquos, et chacune de notre côté, peut-être qu'on se casse un peu la gueule.
Je feuillette le programme du théâtre puisque ma soeur vient de m'offrir un abonnement pour Noël (youhou), je raconte des bêtises avec Tan, j'hystérise complètement avec elle, je prends peur en jetant un coup d'oeil au programme du quatrième semestre et à mon agenda, et en même temps, l'envie d'en faire plus, plein d'idées pour ce projet d'UE, et ça.
Dehors on s'envole, et hier soir j'avais du mal à distribuer les graines du waaré. On perd l'habitude. On perd un peu tout.